Dangerosité d'arrêter des médicaments par sois-même
Bonjour à tous,
J'ai trouvé un article intéressant sur la dangerosité d'arrêter les médicaments subitement sans a en avoir parlé à un médecin!
Présentation Une personne peut avoir une variété de raisons de vouloir arrêter de prendre des médicaments psychiatriques. Il ou elle peut vouloir pour être libre de l'effet de ternissement qui causent la plupart des médicaments psychiatriques ou des effets secondaires plus graves que lui ou elle souffre peut-être. La personne peut être inquiet sur les effets à long terme des médicaments, y compris la dyskinésie tardive (mouvements involontaires des muscles).Ou il peut être désireux de faire un changement majeur dans sa vie en se libérant d'une dépendance à un médicament puissant.
Quelle que soit la motivation, la personne a le droit de se libérer de l'aide de médicaments. Il pourrait bien y avoir des situations où d'autres ne sont pas d'accord avec une personne qui veut arrêter la prise de médicaments psychiatriques. Ils peuvent avoir peur que cela lui permet de faire le préjudice grave. Mais il est juste de l'individu, et il a probablement de bonnes raisons de vouloir cesser d'utiliser les médicaments. Après tout, il est celui qui doit vivre avec les conséquences de la médication, et il est le seul qui sait comment le médicament affecte vraiment lui.
Vous pouvez le soutenir en l'aidant à faire des choix éclairés au sujet de son choix. . Vous pouvez lui donner des informations sur ses médicaments et ses effets. Vous pouvez aussi lui donner des informations sur les médicaments descendre, et vous pouvez le soutenir dans l'exercice de son choix de façon sécuritaire.
Que la sécurité peut être le support le plus important que vous pouvez fournir. Rappelez-vous, vous avez peu d'influence sur ce qu'il fait après avoir quitté la maison de transition. Il peut arrêter sa froide médicaments, sans information ou de soutien, et se mettre en grave danger.
Les symptômes de la trop rapide retrait de médicaments psychiatriques comprennent des nausées extrêmes, anxiété, insomnie, nervosité, réactions musculaires, et un comportement étrange. Dans le cas des tranquillisants mineurs et les sédatifs, les réactions au retrait soudain peut être mortelle. Vous pouvez le soutenir en luttant avec ces questions et de faire un choix éclairé. Mais n'oubliez pas que vous avez affaire à quelque chose qui est son droit.Si vous porter un jugement sur ses souhaits, vous ne serez pas l'aider à découvrir ce qui est vraiment le meilleur pour lui. Et il peut tout simplement arrêter ses médicaments de toute façon, sans l'information et le soutien dont il a besoin.
Enfin, une personne qui veut arrêter de prendre des médicaments psychiatriques doivent avoir le soutien d'un médecin sympathique. Par sympathie, nous entendons un médecin qui est prêt à accepter le droit d'une personne à choisir son propre chemin et de travailler avec lui sur le médicament descendre.C'est la meilleure façon, d'avoir la participation active d'un médecin qui peut vous aider à planifier et contrôler le retrait d'une personne de médicaments psychiatriques.
Notez que de nombreux centres de désintoxication et des programmes de toxicomanie aider les gens à cesser de prendre des tranquillisants et des sédatifs mineurs, mais pas les neuroleptiques et les antidépresseurs.
Ce qui suit est un aperçu de l'essentiel. Il va vous aider ou aider les gens avec qui vous travaillez à comprendre ce qui est impliqué dans le processus et comment on s'y prend.
Les Principes de base
Il ya quelques principes de base que la personne a à suivre pour arrêter de prendre les médicaments psychiatriques en toute sécurité. Familiarisez-vous avec eux, et faire en sorte que toute personne avec qui vous travaillez qui veut arrêter sa médication est familier avec eux, aussi.
- Ne pas essayer d'arrêter de prendre les médicaments psychiatriques sans soutien.
· Si possible, trouver un médecin de soutien pour superviser le processus.
· Ne jamais cesser de prendre les médicaments psychiatriques brutalement - va «cold turkey» peut conduire à de graves symptômes de sevrage et peut être mortelle.
· La meilleure façon d'arrêter est de réduire la dose progressivement, en se retirant progressivement et prudemment, il peut être possible pour minimiser les symptômes de sevrage.
· Retrait de sédatifs et tranquillisants mineurs peuvent être extrêmement dangereux.
· Les symptômes de sevrage · ne pas nécessairement commencer immédiatement, ils peuvent commencer n'importe où à partir de 8 heures à plusieurs jours après avoir quitté.
· Le temps qu'il faut pour que les symptômes de sevrage à s'installer et leur gravité varie d'une personne à personne, et dépend de combien de temps vous avez pris des médicaments, la posologie, votre santé générale, poids de votre corps, et ainsi de suite.
Étapes à suivre
1. 1. . Trouver un médecin de soutien qui vont travailler sur un calendrier de retrait avec vous et suivre votre progression. Vous pourrez peut-être en trouver un dans le répertoire AlternativeMentalHealth.com. Ou d'autres survivants psychiatriques ou d'un groupe de survivants pourraient être en mesure de proposer un médecin.
2. 2.. Ayez une situation de vie qui est aussi stable que possible.
3. 3. Organiser le soutien des amis, famille, groupes de survivants, les organisations locales et / ou toute autre source d'aide.
4. 4. Se retirer de la drogue aussi progressivement que possible. Une méthode courante est de 10% par semaine.
5. 5. . Pour en savoir autant que vous le pouvez au sujet du processus de sorte que vous serez préparé pour les symptômes de sevrage.
6. 6. . Ne vous attendez pas à ressentir beaucoup de différence dans les premiers jours.
7. 7. . Sachez que votre corps et votre esprit sont passer par une expérience difficile.
8. 8. . Assurez-vous de dormir suffisamment. Difficulté à dormir est un problème commun, il est important que vous obtenez au moins 6 heures de sommeil par nuit. Utilisez les herbes médicinales pour le sommeil, et d'essayer le massage, etc Mais si rien d'autre aide, il vaut la peine de prendre des somnifères juste pour cette courte période.
9. 9. Arrêtez d'utiliser des stimulants comme le café, le sucre du chocolat drogues, d'alcool ou de la rue,.
10. 10. Mangez le plus sain régime alimentaire que vous pouvez pour aider votre corps à se purifier. Légumes, fruits, noix et les céréales sont importantes; mangez que la viande rouge peu que vous le pouvez, et d'éviter la malbouffe.
11. 11.Vous aurez plus d'énergie que votre corps physique s'éloigne de la drogue. . L'exercice vous aidera à rester calme, et sera très utile si votre énergie semble être hors de contrôle. . Essayez de démarrer l'exercice, la natation, la randonnée ou le vélo. Mais commencez progressivement.
Établir un horaire
Rappelez-vous, les médicaments psychiatriques ne doit jamais être interrompu brutalement! Le plus lentement que vous pouvez retirer, les effets moins mauvais vous allez souffrir. Le meilleur plan est de travailler sur un calendrier avec votre médecin qui convient le mieux à votre situation.
La pratique standard est de réduire la posologie de 10 pour cent par semaine, suivi de vos progrès à chaque étape. La première semaine, vous permettrait de réduire la dose de dix pour cent. Essayez cela pour la première semaine, et ensuite voir comment vous faites. Si vous vous sentez bien, réduire la posologie de 10 pour cent.Essayez cela pendant une semaine, et de voir si vous vous sentez bien.
Si vous atteignez un point où vous ne vous sentez pas bien, ne réduisent pas votre dose d'un autre 10 pour cent. Restez au même niveau réduit pour une autre semaine ou jusqu'à ce que vous vous sentez bien. Puis par un autre de réduire de 10 pour cent et de poursuivre le processus. Certaines mesures pourraient être plus difficiles que d'autres, prenez votre temps. Par exemple, si vous prenez 200 mg de chlorpromazine par jour, réduire de 10 pour cent - 20mg - à 180mg par jour. Essayez ce niveau pendant une semaine. La réduction suivante serait de 160 mg par jour pendant une semaine (ou plus), puis 140 mg par jour, et ainsi de suite.
Si vous prenez plus d'un médicament à un moment, il est préférable d'arrêter un par un. Si vous prenez un (tranquillisant majeur) et un médicament neuroleptique anticonvulsivants (anti-parkinsoniens) dans le même temps, ce qui est commun, se retirer de la première neuroleptiques. Toutefois, si vous prenez plus d'un médicament, c'est une situation où il est certainement préférable d'avoir un médecin de travailler avec vous.
Si vous travaillez avec une personne qui veut arrêter de prendre des médicaments psychiatriques, il est important de se familiariser avec les réactions typiques ou de symptômes de sevrage. Celles-ci varient, en fonction de la personne, combien de temps il a été la prise du médicament, sa posologie et le type de drogue.
Différentes classes de médicaments apporter sur les réactions de sevrage différents. Certaines de ces réactions peuvent être inquiétants et difficiles à témoin mais pas vraiment dangereux. D'autres peuvent être mortelles.
Une familiarité avec les réactions de sevrage de drogue va vous aider à travailler avec quelqu'un qui prend des médicaments . Ou ils vont manquer de médicaments d'une journée, et ensuite de rattraper en prenant deux fois plus le lendemain. Par erreur, la prise de médicaments trop peu, ils peuvent apporter sur les premiers stades de retrait. Mystérieux malaises physiques et émotionnels peuvent réellement être des signes qu'ils ne prennent pas leurs médicaments comme prescrit.
Même quand une personne prend ses médicaments comme prescrit, il peut l'expérience de l'amorce d'une réaction de retrait d'une dose commence à s'user. Par exemple, une personne qui prend un tranquillisant mineur peut se trouver sentir agité et sans repos avant qu'il ne soit pour lui prendre la prochaine dose prescrite.
Dans les deux cas, ces signes sont les résultats des premières étapes du retrait. Il peut sembler comme l'agitation, l'anxiété ou l'inconfort physique sont des signes d'une personne «maladie mentale» ou un signe qu'il a vraiment besoin la médication qu'il prend. Toutefois, ses plaintes peut effectivement être dû aux effets physiques des premières étapes de sevrage de drogue.
Voici les principales classes de médicaments psychiatriques, ainsi que les réactions de sevrage qui sont les plus communs avec chacun d'eux.
Antidépresseurs et des neuroleptiques
· Syndrome pseudo-grippal avec maux de tête, douleurs musculaires, frissons, nausées, vomissements, diarrhée et perte d'appétit
· Réactions musculaires incontrôlables tels que les mouvements rythmiques et des tremblements (ils sont plus sévères avec des neuroleptiques)
· L'insomnie ·, détresse émotionnelle, sentiment comme on est "fou"
Lithium
· · Effets secondaires moins général que les autres classes
L'insomnie ·, anxiété, irritabilité.
Tranquillisants mineurs, sédatifs
Le retrait soudain peut entraîner des convulsions mortelles; retrait doit être très progressive
· Saisies commune dans les premiers stades de retrait
· Réactions d'autres peuvent inclure syndrome grippal (voir ci-dessus), des tics musculaires, agitation et l'anxiété
· Les symptômes de sevrage habituellement de quelques jours pour se développer, mais peut se produire immédiatement et s'aggravent durant la première semaine.
Ce que vous pouvez faire pour soutenir une personne Retrait du médicament
1.1 Respecter le droit de la personne à faire ses propres choix.
2. 2. . Soyez informés sur le processus de retrait des médicaments psychiatriques.
3. 3.Se familiariser avec les symptômes de sevrage de sorte que vous pouvez rester lucide et ne pas paniquer.
4. 4. Réalisez que les personnes qui désapprouvent ce que la personne faisant voudrez peut-être interférer avec le processus. Be prepared for that. Soyez prêt pour cela.
5. 5. Rappeler à la personne de dormir suffisamment.
6. 6. Assurez-vous qu'il mange suffisamment. Aidez-le à préparer la nourriture, comme il peut être trop nerveux pour cuisiner sur le sien.
7. 7. Aidez-le à entrer en contact avec d'autres personnes qui vont le soutenir.
8. 8. Ne soyez pas trompés par les symptômes de sevrage, en pensant que ce sont des signes de sa «maladie». Soyez patient, cela prend du temps à se retirer de la drogue et à s'adapter à la vie sans eux.
J'ai trouvé un article intéressant sur la dangerosité d'arrêter les médicaments subitement sans a en avoir parlé à un médecin!
Présentation Une personne peut avoir une variété de raisons de vouloir arrêter de prendre des médicaments psychiatriques. Il ou elle peut vouloir pour être libre de l'effet de ternissement qui causent la plupart des médicaments psychiatriques ou des effets secondaires plus graves que lui ou elle souffre peut-être. La personne peut être inquiet sur les effets à long terme des médicaments, y compris la dyskinésie tardive (mouvements involontaires des muscles).Ou il peut être désireux de faire un changement majeur dans sa vie en se libérant d'une dépendance à un médicament puissant.
Quelle que soit la motivation, la personne a le droit de se libérer de l'aide de médicaments. Il pourrait bien y avoir des situations où d'autres ne sont pas d'accord avec une personne qui veut arrêter la prise de médicaments psychiatriques. Ils peuvent avoir peur que cela lui permet de faire le préjudice grave. Mais il est juste de l'individu, et il a probablement de bonnes raisons de vouloir cesser d'utiliser les médicaments. Après tout, il est celui qui doit vivre avec les conséquences de la médication, et il est le seul qui sait comment le médicament affecte vraiment lui.
Vous pouvez le soutenir en l'aidant à faire des choix éclairés au sujet de son choix. . Vous pouvez lui donner des informations sur ses médicaments et ses effets. Vous pouvez aussi lui donner des informations sur les médicaments descendre, et vous pouvez le soutenir dans l'exercice de son choix de façon sécuritaire.
Que la sécurité peut être le support le plus important que vous pouvez fournir. Rappelez-vous, vous avez peu d'influence sur ce qu'il fait après avoir quitté la maison de transition. Il peut arrêter sa froide médicaments, sans information ou de soutien, et se mettre en grave danger.
Les symptômes de la trop rapide retrait de médicaments psychiatriques comprennent des nausées extrêmes, anxiété, insomnie, nervosité, réactions musculaires, et un comportement étrange. Dans le cas des tranquillisants mineurs et les sédatifs, les réactions au retrait soudain peut être mortelle. Vous pouvez le soutenir en luttant avec ces questions et de faire un choix éclairé. Mais n'oubliez pas que vous avez affaire à quelque chose qui est son droit.Si vous porter un jugement sur ses souhaits, vous ne serez pas l'aider à découvrir ce qui est vraiment le meilleur pour lui. Et il peut tout simplement arrêter ses médicaments de toute façon, sans l'information et le soutien dont il a besoin.
Enfin, une personne qui veut arrêter de prendre des médicaments psychiatriques doivent avoir le soutien d'un médecin sympathique. Par sympathie, nous entendons un médecin qui est prêt à accepter le droit d'une personne à choisir son propre chemin et de travailler avec lui sur le médicament descendre.C'est la meilleure façon, d'avoir la participation active d'un médecin qui peut vous aider à planifier et contrôler le retrait d'une personne de médicaments psychiatriques.
Notez que de nombreux centres de désintoxication et des programmes de toxicomanie aider les gens à cesser de prendre des tranquillisants et des sédatifs mineurs, mais pas les neuroleptiques et les antidépresseurs.
Ce qui suit est un aperçu de l'essentiel. Il va vous aider ou aider les gens avec qui vous travaillez à comprendre ce qui est impliqué dans le processus et comment on s'y prend.
Les Principes de base
Il ya quelques principes de base que la personne a à suivre pour arrêter de prendre les médicaments psychiatriques en toute sécurité. Familiarisez-vous avec eux, et faire en sorte que toute personne avec qui vous travaillez qui veut arrêter sa médication est familier avec eux, aussi.
- Ne pas essayer d'arrêter de prendre les médicaments psychiatriques sans soutien.
· Si possible, trouver un médecin de soutien pour superviser le processus.
· Ne jamais cesser de prendre les médicaments psychiatriques brutalement - va «cold turkey» peut conduire à de graves symptômes de sevrage et peut être mortelle.
· La meilleure façon d'arrêter est de réduire la dose progressivement, en se retirant progressivement et prudemment, il peut être possible pour minimiser les symptômes de sevrage.
· Retrait de sédatifs et tranquillisants mineurs peuvent être extrêmement dangereux.
· Les symptômes de sevrage · ne pas nécessairement commencer immédiatement, ils peuvent commencer n'importe où à partir de 8 heures à plusieurs jours après avoir quitté.
· Le temps qu'il faut pour que les symptômes de sevrage à s'installer et leur gravité varie d'une personne à personne, et dépend de combien de temps vous avez pris des médicaments, la posologie, votre santé générale, poids de votre corps, et ainsi de suite.
Étapes à suivre
1. 1. . Trouver un médecin de soutien qui vont travailler sur un calendrier de retrait avec vous et suivre votre progression. Vous pourrez peut-être en trouver un dans le répertoire AlternativeMentalHealth.com. Ou d'autres survivants psychiatriques ou d'un groupe de survivants pourraient être en mesure de proposer un médecin.
2. 2.. Ayez une situation de vie qui est aussi stable que possible.
3. 3. Organiser le soutien des amis, famille, groupes de survivants, les organisations locales et / ou toute autre source d'aide.
4. 4. Se retirer de la drogue aussi progressivement que possible. Une méthode courante est de 10% par semaine.
5. 5. . Pour en savoir autant que vous le pouvez au sujet du processus de sorte que vous serez préparé pour les symptômes de sevrage.
6. 6. . Ne vous attendez pas à ressentir beaucoup de différence dans les premiers jours.
7. 7. . Sachez que votre corps et votre esprit sont passer par une expérience difficile.
8. 8. . Assurez-vous de dormir suffisamment. Difficulté à dormir est un problème commun, il est important que vous obtenez au moins 6 heures de sommeil par nuit. Utilisez les herbes médicinales pour le sommeil, et d'essayer le massage, etc Mais si rien d'autre aide, il vaut la peine de prendre des somnifères juste pour cette courte période.
9. 9. Arrêtez d'utiliser des stimulants comme le café, le sucre du chocolat drogues, d'alcool ou de la rue,.
10. 10. Mangez le plus sain régime alimentaire que vous pouvez pour aider votre corps à se purifier. Légumes, fruits, noix et les céréales sont importantes; mangez que la viande rouge peu que vous le pouvez, et d'éviter la malbouffe.
11. 11.Vous aurez plus d'énergie que votre corps physique s'éloigne de la drogue. . L'exercice vous aidera à rester calme, et sera très utile si votre énergie semble être hors de contrôle. . Essayez de démarrer l'exercice, la natation, la randonnée ou le vélo. Mais commencez progressivement.
Établir un horaire
Rappelez-vous, les médicaments psychiatriques ne doit jamais être interrompu brutalement! Le plus lentement que vous pouvez retirer, les effets moins mauvais vous allez souffrir. Le meilleur plan est de travailler sur un calendrier avec votre médecin qui convient le mieux à votre situation.
La pratique standard est de réduire la posologie de 10 pour cent par semaine, suivi de vos progrès à chaque étape. La première semaine, vous permettrait de réduire la dose de dix pour cent. Essayez cela pour la première semaine, et ensuite voir comment vous faites. Si vous vous sentez bien, réduire la posologie de 10 pour cent.Essayez cela pendant une semaine, et de voir si vous vous sentez bien.
Si vous atteignez un point où vous ne vous sentez pas bien, ne réduisent pas votre dose d'un autre 10 pour cent. Restez au même niveau réduit pour une autre semaine ou jusqu'à ce que vous vous sentez bien. Puis par un autre de réduire de 10 pour cent et de poursuivre le processus. Certaines mesures pourraient être plus difficiles que d'autres, prenez votre temps. Par exemple, si vous prenez 200 mg de chlorpromazine par jour, réduire de 10 pour cent - 20mg - à 180mg par jour. Essayez ce niveau pendant une semaine. La réduction suivante serait de 160 mg par jour pendant une semaine (ou plus), puis 140 mg par jour, et ainsi de suite.
Si vous prenez plus d'un médicament à un moment, il est préférable d'arrêter un par un. Si vous prenez un (tranquillisant majeur) et un médicament neuroleptique anticonvulsivants (anti-parkinsoniens) dans le même temps, ce qui est commun, se retirer de la première neuroleptiques. Toutefois, si vous prenez plus d'un médicament, c'est une situation où il est certainement préférable d'avoir un médecin de travailler avec vous.
Si vous travaillez avec une personne qui veut arrêter de prendre des médicaments psychiatriques, il est important de se familiariser avec les réactions typiques ou de symptômes de sevrage. Celles-ci varient, en fonction de la personne, combien de temps il a été la prise du médicament, sa posologie et le type de drogue.
Différentes classes de médicaments apporter sur les réactions de sevrage différents. Certaines de ces réactions peuvent être inquiétants et difficiles à témoin mais pas vraiment dangereux. D'autres peuvent être mortelles.
Une familiarité avec les réactions de sevrage de drogue va vous aider à travailler avec quelqu'un qui prend des médicaments . Ou ils vont manquer de médicaments d'une journée, et ensuite de rattraper en prenant deux fois plus le lendemain. Par erreur, la prise de médicaments trop peu, ils peuvent apporter sur les premiers stades de retrait. Mystérieux malaises physiques et émotionnels peuvent réellement être des signes qu'ils ne prennent pas leurs médicaments comme prescrit.
Même quand une personne prend ses médicaments comme prescrit, il peut l'expérience de l'amorce d'une réaction de retrait d'une dose commence à s'user. Par exemple, une personne qui prend un tranquillisant mineur peut se trouver sentir agité et sans repos avant qu'il ne soit pour lui prendre la prochaine dose prescrite.
Dans les deux cas, ces signes sont les résultats des premières étapes du retrait. Il peut sembler comme l'agitation, l'anxiété ou l'inconfort physique sont des signes d'une personne «maladie mentale» ou un signe qu'il a vraiment besoin la médication qu'il prend. Toutefois, ses plaintes peut effectivement être dû aux effets physiques des premières étapes de sevrage de drogue.
Voici les principales classes de médicaments psychiatriques, ainsi que les réactions de sevrage qui sont les plus communs avec chacun d'eux.
Antidépresseurs et des neuroleptiques
· Syndrome pseudo-grippal avec maux de tête, douleurs musculaires, frissons, nausées, vomissements, diarrhée et perte d'appétit
· Réactions musculaires incontrôlables tels que les mouvements rythmiques et des tremblements (ils sont plus sévères avec des neuroleptiques)
· L'insomnie ·, détresse émotionnelle, sentiment comme on est "fou"
Lithium
· · Effets secondaires moins général que les autres classes
L'insomnie ·, anxiété, irritabilité.
Tranquillisants mineurs, sédatifs
Le retrait soudain peut entraîner des convulsions mortelles; retrait doit être très progressive
· Saisies commune dans les premiers stades de retrait
· Réactions d'autres peuvent inclure syndrome grippal (voir ci-dessus), des tics musculaires, agitation et l'anxiété
· Les symptômes de sevrage habituellement de quelques jours pour se développer, mais peut se produire immédiatement et s'aggravent durant la première semaine.
Ce que vous pouvez faire pour soutenir une personne Retrait du médicament
1.1 Respecter le droit de la personne à faire ses propres choix.
2. 2. . Soyez informés sur le processus de retrait des médicaments psychiatriques.
3. 3.Se familiariser avec les symptômes de sevrage de sorte que vous pouvez rester lucide et ne pas paniquer.
4. 4. Réalisez que les personnes qui désapprouvent ce que la personne faisant voudrez peut-être interférer avec le processus. Be prepared for that. Soyez prêt pour cela.
5. 5. Rappeler à la personne de dormir suffisamment.
6. 6. Assurez-vous qu'il mange suffisamment. Aidez-le à préparer la nourriture, comme il peut être trop nerveux pour cuisiner sur le sien.
7. 7. Aidez-le à entrer en contact avec d'autres personnes qui vont le soutenir.
8. 8. Ne soyez pas trompés par les symptômes de sevrage, en pensant que ce sont des signes de sa «maladie». Soyez patient, cela prend du temps à se retirer de la drogue et à s'adapter à la vie sans eux.